Des blocages récurrents !

Cela fait maintenant trois ans consécutifs que l'Université Bordeaux Montaigne est victime de blocages orchestrés par des syndicats étudiants de gauche pour des raisons parfois absurdes et inutiles, comme le "blocus challenge" de Louis Boyard, entravant ainsi la liberté d'enseignement et l'apprentissage des savoirs. Cette année semble se diriger vers une quatrième année de blocage, compte tenu des appels récents au blocus en réaction aux réductions budgétaires.

Des restrictions à l'image du pays !

La France est actuellement confrontée à un déficit budgétaire et à une dette publique sans précédent, ce qui se répercute directement sur les universités françaises, entraînant un manque de moyens et de personnels. Les syndicats étudiants de gauche semblent viser principalement l'entrave des cours, utilisant une idéologie anti-patronale et anti-réussite. Leurs critiques se concentrent sur le patronat déjà fragilisé, notamment les petites et moyennes entreprises. Les grandes entreprises, quant à elles, ont largement quitté la France en raison de politiques fiscales de plus en plus restrictives. Si cette tendance continue, elle risque d'entraîner une perte supplémentaire d'emplois.

De plus, une analyse du budget de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche (ESR) entre 2023 et 2025 révèle une augmentation de 1 milliard d'euros, passant de 25,7 milliards à 26,7 milliards. Bien que cette augmentation ne suffise pas à restaurer pleinement la situation des universités en France, elle démontre le mensonge véhiculé par la gauche concernant une prétendue diminution du budget de l'ESR.

Une gauche hors sol !

La gauche se positionne contre la compétitivité et la réussite, plaidant pour une extension des places dans toutes les formations, ce qui conduit à des effectifs toujours plus nombreux, sans pour autant garantir un niveau ou une qualité d'enseignement adéquate. Dans le contexte d'une France marquée par une instabilité politique, l'objectif de ces syndicats semble être de créer davantage de désordre et d'instabilité. Comment peut-on améliorer la situation des universités dans un pays où le pouvoir est instable ? La gauche réclame toujours plus de moyens et d'assistanats alors que le pays est en difficulté sur de nombreux fronts.

Pour une liberté d'enseignement !

Nous ne pouvons plus tolérer que la liberté d'enseignement soit ainsi entravée. Il est temps de nous unir avec les syndicats étudiants de droite, tels que l'UNI et la Cocarde Étudiante, pour dire non au blocage des universités et oui à un enseignement de qualité.