Du stage drag pour enfants au déficit de 51.000 € – À qui profite le wokisme financé par l’État ?
La MJC CLAL de Mérignac : Du stage drag pour enfants au déficit de 51.000 € – À qui profite le wokisme financé par l’État ?
En février 2024, une polémique éclatait à Mérignac autour de la MJC CLAL (Maison des Jeunes et de la Culture).
À l’origine : un stage de découverte de l’art drag proposé à des enfants dès 11 ans.

Choqué par cette initiative, j’ai décidé de médiatiser l’affaire sur X (Twitter), lançant une vague de protestations qui a culminé avec une pétition signée par des milliers de parents.
Face à la colère publique, la MJC a dû annuler cet événement, invoquant un "acharnement de l’extrême droite".

Mais que révèlent les rapports, moral et financier, 2024, de l’association, dont nous avons pris connaissance ?
Une victimisation auto-proclamée, un biais politique flagrant et un déficit financier de 51.000 € – financé en partie par vos impôts.


Décryptage :
🔴 Le stage drag : une annulation qui coûte cher
Le Rapport Moral 2024, signé par la présidente Fabienne Duhant, déplore des "attaques violentes" liées à l’extrême droite qui auraient forcé l’annulation du stage.
Une narrative reprise sur X (Twitter) par des soutiens de la MJC, qui peignent les opposants comme des extrémistes.
Pourtant, les faits sont clairs : cette mobilisation, initiée par des parents alarmés, a révélé un projet jugé inapproprié pour des mineurs.
Le Rapport Financier 2024 corrobore l’impact : une baisse des produits d’activités de 6.000 € (102.000 € en 2024 vs 108.000 € en 2023), directement liée à l’annulation de manifestations comme ce stage et la modification du FESTICLAL.
Ajoutez une chute des subventions de 50.000 € (265.000 € vs 315.000 €), attribuée à des "non-réalisations d’actions", et vous obtenez un déficit d’exploitation de 51.000 €.
Loin d’être une victime, la MJC semble payer le prix de ses choix idéologiques.
🔴 Un militantisme extrême gauche financé par l’argent public
Le Rapport Moral ne cache pas ses couleurs.
Il exalte les "valeurs républicaines" de respect et de diversité, tout en fustigeant l’extrême droite, et remercie chaleureusement des élus de gauche : Alain Anziani (PS, ex-maire de Mérignac), Anne-Eugénie Gaspar (écologiste, adjointe à Mérignac) et même le nouveau maire Thierry Trijoulet (PS), mais avec une tiédeur suspecte.
L’association se pose en "acteur éducatif et politique" luttant contre les "idées de l’extrême droite" – un langage qui fleure bon le prosélytisme woke.
Or, avec 72% de ses revenus provenant de subventions publiques (265.000 € de la CAF et de la Ville de Mérignac), cette MJC transforme vos impôts en outil de militantisme partisan, loin de sa mission d’animation neutre.
🔴 Un déficit qui trahit l’incompétence
Le Rapport Financier dresse un tableau alarmant.
Malgré une légère réduction des charges (434.000 € vs 455.000 € en 2023), le déficit persiste, creusant les réserves (trésorerie à 171.000 € vs 219.000 €).
Les frais généraux baissent de 22.000 €, dont 21.000 € liés à une réduction des intervenants non salariés, et les salaires diminuent de 6.000 € avec la fin d’emplois d’apprentis.
Mais cela ne compense pas la chute des revenus.
Cette gestion chaotique, masquée derrière des discours victimaire, soulève des questions : les fonds publics sont-ils mal utilisés pour des projets idéologiques voués à l’échec ?
🔴 Que faire ? Un appel à la transparence
Cette affaire dépasse Mérignac.
Elle illustre un problème national : des associations subventionnées qui dérivent vers le militantisme au détriment de leurs missions.
Avec un déficit de 51.000 €, la MJC CLAL devra, pour les prochaines années, augmenter ses demandes de subventions, donc nos impôts, pour pallier cette mauvaise gestion.
Il est temps d’agir :
✅ Audit des subventions : La CAF et la Ville de Mérignac doivent justifier l’usage de ces 265.000 € annuels.
✅ Neutralité imposée : Les MJC doivent revenir à une animation apolitique, pas à de l’endoctrinement.
✅ Mobilisation citoyenne : Informez vos élus locaux et médias pour exiger des comptes et une transparence sur l’utilisation des fonds publics.
J’ai allumé la mèche en février 2024. Aujourd’hui, ces rapports confirment que la MJC CLAL n’a pas appris de ses erreurs.
À nous, citoyens, de veiller à ce que nos impôts ne financent plus ce genre d’excès. Partagez cet article, alertez vos élus, et demandez des réponses !
Virginie Bonthoux Tournay