Lors du conseil municipal du 4 février 2025, Pierre Hurmic, maire de Bordeaux, s’est félicité de ne pas augmenter les impôts dans le cadre du Budget primitif 2025.

Pourtant, un examen attentif des chiffres révèle une réalité bien différente.

Entre hausses masquées de la fiscalité locale, matraquage des automobilistes et subventions généreuses à des associations progressistes et pro-migrantes, Reconquête! Gironde dénonce un budget qui pèse lourdement sur les Bordelais tout en finançant des priorités idéologiques contestables.

• Une hausse d’impôts déguisée pour les propriétaires bordelais

Pierre Hurmic affirme qu’il n’y aura pas de hausses d’impôts. Mais le diable se niche dans les détails :

En maintenant le taux de la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) à 48,48 %, le maire a délibérément choisi de ne pas compenser la revalorisation mécanique des bases locatives prévue par la loi (+1,7 % en 2025).

Résultat : les recettes de fiscalité directe locale augmenteront bel et bien, comme l’indique le budget prévisionnel, qui souligne une hausse liée à « l’actualisation des bases des locaux d’habitation et industriels ».

Concrètement, cette augmentation de 1,7 % se traduira par une facture plus salée pour les propriétaires bordelais. Par exemple, pour un bien avec une valeur locative de 5 000 euros, la taxe foncière grimpera de plus de 20 euros.

Nous dénonçons ces effets de manche sémantiques : dire qu’il n’y a pas de hausse d’impôts alors que les Bordelais paieront davantage est un mensonge par omission.

• Les automobilistes dans le viseur : très chères voitures

La municipalité écologiste ne s’arrête pas là et cible également les automobilistes avec une fiscalité indirecte en forte hausse.

En 2025, les recettes liées au stationnement explosent : les forfaits post-stationnement passeront de 1,15 million d’euros à 2,1 millions d’euros, tandis que les redevances de stationnement bondiront de 17,5 millions d’euros à 20 millions d’euros.

Cette augmentation, qui inclut la taxation des SUV annoncée unilatéralement lors d’une conférence de presse, représente un surcoût total de plus de 2,5 millions d’euros puisé directement dans les poches des habitants de la métropole.

Ironie du sort, ces derniers, qui n’ont pas tous les moyens de s’offrir une Renault 5 électrique subventionnée par la collectivité (comme ce sera bientôt le cas pour Pierre Hurmic), subiront de plein fouet cette politique punitive.

Ce matraquage fiscal des possesseurs de SUV et de tous les automobilistes est une aberration.

• Subventions en hausse : transactivisme et immigration au cœur des priorités

Le Budget primitif 2025 prévoit également une augmentation de 4,9 % des subventions aux associations, avec un effort marqué pour les structures progressistes et sans-frontiéristes.

Le programme « Promotion égalité, diversité et citoyenneté » voit son budget croître de 4 %, et à lui seul, le Girofard, association transactiviste, capte plus de 20 % de ces fonds.

Voici un aperçu des subventions accordées à ces associations "woke" financées par les impôts des Bordelais : 
☑️ Le Girofard : 40 000 euros 
☑️ Cinémarges : 2 500 euros 
☑️ Gayté de Chœur : 5 000 euros 
☑️ Le Refuge : 10 000 euros 
☑️ Adelphes Cisgenres : 3 000 euros 
☑️ Espace QG : Bibliothèque Queer et Genres : 2 500 euros 
☑️ Lien Interculturel Familial et Social (ex-Association des Tunisiens en France) : 17 000 euros 
☑️ La foudre prend racine : 3 000 euros 
☑️ SOS Racisme : 8 500 euros 
☑️ Cimade : 3 000 euros

⚠️ Mais ce n’est pas tout. Dans le cadre des relations internationales, la ville alloue 13 000 euros (soit 8 % du programme) à SOS Méditerranée, cette association pro-migrants, alliée objective des passeurs de clandestins. À titre de comparaison, Climate Chance reçoit 30 000 euros.

Pour Pierre Hurmic, le rayonnement d’une ville classée au patrimoine mondial de l’UNESCO passerait donc par le financement de telles structures, au détriment des priorités des Bordelais.

↪️ D’un côté, la majorité écologiste refuse de compenser la hausse des valeurs locatives foncières, alourdissant les impôts des propriétaires.

↪️ De l’autre, elle impose une fiscalité indirecte inédite aux automobilistes tout en versant des centaines de milliers d’euros à des associations nuisibles, qui ne vivent que d’argent public : le vôtre !

▶️ Les Bordelais n’ont pas vocation à financer leur propre grand remplacement ni à subir un matraquage fiscal masqué.

Bienvenue à Bordeaux, où les contribuables paient le prix fort pour les choix idéologiques de notre maire...

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